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« Je suis venu pour m'assurer qu'il soit bien mort et enterré »

Doris Kneller, Justice au bout du chemin
 
 

« Peut-être un polar »

2020, 440 pages
 
 
Disponible comme paperback
 
à la librairie Torcatis, Perpignan
 
et chez Amazon, 18 €
 
 
 
et comme ebook, 5 €
 
chez Amazon
 
ou « Kindl Emprunt »
 

 
 
 
 

« Justice au bout du chemin »
 
se déroule dans les Pyrénées-Orientales, au Sud de la France.

 
Ceux qui connaissent l'endroit,
le reconnaîtront. Ceux qui ne le
connaissent pas, le découvrirons.
 
 
 
 
 
 
      L'histoire d'un petit village dans les Pyrénées, si petit qu'on peut à peine l'imaginer. Son histoire est vraie. Il y a peut-être quelques détails dans l'intrigue qui ont été inventés et des noms qui ont été changés.
 
       Mais aucune ressemblance avec des personnes vivantes ou décédées au cours des dernières années n'est due au hasard.
 
 
« Je suis venu pour m'assurer qu'il
soit bien mort et enterré. »
 
 
       Quelqu'un veut assassiner Monsieur Brisu, le maire de ce village. C'est du moins ce que pense la femme. Mais quelle est la vérité ?
 
       La femme sans nom, sans passé et sans origine qui, un jour, descend de la montagne pour rejoindre Laferrada. Ou, plus exactement, pour porter le message au maire. Elle ne sait pas qui le lui a dit et pourquoi, mais elle est sûre que, bientôt, il sera tué.
 
       Peut-elle changer le verdict qu'un inconnu a prononcé ? Veut-elle le changer ?
 
       Monsieur Brisu a toutes ses chances pour sauver sa peau − s'il croit à ce que proclame la femme. On dirait qu'il est privilégié : qui, de son vivant, eut l'occasion de participer à l'enquête sur sa propre mort ?
 
 
 
       Qui soupçonnerait l'ampleur des magouilles politiques qui se dissimulent derrière les coulisses paisibles des petits villages cachés dans les forêts des Pyrénées ?
 
       Il s'agit de pouvoir, toujours de nouveau de pouvoir. Un pouvoir qui s'entend sur cinquante, cent, parfois juste douze ou quatorze habitants permanents − et deux cents en été, des fils et petit-fils des habitants qui créent des associations locales et se sentent plus « autochtones » que leurs ainés.
 
       Mais la soif du pouvoir n'a pas besoin de beaucoup de « sujets » pour être comblée. Elle a juste besoin de gens toujours prêts à obéir...
Un polar de Doris Kneller
 
 
 
 
 

Les avis des lecteurs sur
« Justice au bout du chemin »

 
 
 
 
Jocelyne Fonlupt, Sète
 
       Construit autour de nombreuses analepses (cinq ans, puis quatre ans... avant l'arrivée de « la femme sans nom »), écrit dans une langue élégante, ce presque polar se situe à la lisière du réalisme magique en particulier avec ce personnage étrange de « la femme sans nom ».
 
      Mais tous les autres protagonistes, du méchant Brisu, le maire du village, aux « étrangers » − un couple d'Allemands par exemple nouvellement installé, ou encore l'énigmatique Artémis ont de la chair.
 
       Une écriture à découvrir.
 
 
 
Byron de Bois, Montpellier
 
       C'est fait, je l'ai lu avec beaucoup de plaisir. Ton bouquin est très prenant, on ne s'ennuie pas, le style est fluide. Je me suis vite douté que ..., mais cela n'enlève rien au suspens. Tout le mystère un peu loufoque ... est très bien géré. Merci pour ces moments de plaisir. Si prochain bouquin il y a, tu peux d'ores et déjà m'en réserver un exemplaire.